La CFDT dans les médias
 
 
 
19 avril 2021
TV RENNES -L'usine PSA a l'arrêt faute de pièces
 
 
 
26 février 2020
France Bleu - PSA verse une prime de 4100€
 
 
 
26 février 2020
France 3 - PSA verse une prime de 4100€
 
 
22 juin 2018
 
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22 juin 2018 
 
France bleu 350 recrutements
 
 
 
06 mars 2017
 
Tf1
 
 
 
20 juin 2016
tv-rennes.pngInterview à 5,25 minutes
 
 
 
20 juin 2016
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17 juin 2016
France2
 
 
28 août 2015
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02juin 2015
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02 juin 2015
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26 novembre 2014
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25 novembre 2014
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20 novembre 2014 
France bleu 3450 emplois menacés
 
   
 
 
 
 4 octobre 2013

20minutes-fr.jpgLa Janais n'abdique pas

La Janais n'abdique pas

PSA Un débrayage des salariés a mis les lignes de production à l'arrêt

 

Les lignes de montage étaient jeudi midi à l'arrêt à l'usine PSA de la Janais. Il n'était cette fois pas question de chômage technique mais d'un débrayage d'environ 400 salariés, qui répondaient à l'appel des syndicats CGT, CFDT et Unsa. Dans leur viseur, le nouveau contrat social (lire encadré) que la direction du constructeur tente de négocier avec les syndicats. « Un contrat antisocial », ironise Michel Bourdon, délégué CGT, qui dénonce « le chantage de la direction qui considère que l'attribution d'un nouveau véhicule à Rennes est lié à l'acceptation de ce contrat ».

« On se fout de nous »

L'annonce de la construction d'un nouveau véhicule en 2017 laisse d'ailleurs sceptique sur le site de la Janais. « On ne nous a même pas précisé lequel, on se fout vraiment de nous », fulmine Laurent Valy de la CFDT. Outre le modèle, c'est surtout le volume de production annoncé qui interroge. « On parle de 100 à 150 000 véhicules par an. On aurait alors besoin que de 2 800 salariés (ndlr : ils seront 4 000 fin décembre à l'issue du plan social). Cela rappelle tristement le sort d'Aulnay », poursuit Laurent Valy. Un nouveau débrayage était de nouveau prévu dans l'après-midi pour réclamer « un avenir pour l'usine de la Janais ».

 

 Jérôme Gicquel

■ Gel des salaires

En contrepartie des engagements de maintenir sa production en France, la direction de PSA réclame en échange des efforts aux salariés (gel des salaires en 2014, baisse des indemnités chômage...).
 
 
 
 3 octobre 2013

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3 octobre 2013
Mis à jour le 03.10.13 à 22h42

Des débrayages ont affecté des usines de PSA Peugeot Citroën jeudi à l'appel de la CGT et de la CFDTmécontentes des propositions de la direction concernant l'activité industrielle, a-t-on appris auprès des syndicats et de la direction.

Ces actions suivent l'annonce fin septembre par la direction de son engagement à augmenter sa production en France et à y maintenir ses usines d'ici 2016 en contrepartie des mesures de modération salariale demandées aux salariés dans le cadre de la négociation d'un accord sur un «nouveau contrat social».

«On dénombrait à 17H30 moins de 1.500 grévistes au cumul de la journée (équipes du matin et de l'après-midi) sur l’ensemble des sites du groupe», a indiqué à l'AFP un porte-parole de la direction de PSA.

«Cela représente une faible mobilisation au regard de l’effectif global de la division automobile c'est-à-dire moins de 2% des effectifs concernés. La production est très peu perturbée», a-t-il ajouté.

A l'usine de Rennes La Janais, environ 650 personnes ont débrayé à la mi-journée, selon la CGT et la CFDT, 320 selon la direction. 180 salariés ont également débrayé dans l'après-midi, a précisé la direction. La chaîne de production a été paralysée, selon les syndicats, qui se sont réjouis de la «réussite» du mouvement.

«On demande juste du boulot», a affirmé Laurent Valy, secrétaire CFDT du site, selon lequel la direction propose un «projet de véhicules avec de très faibles volumes», de l'ordre de 100.000 à 150.000 par an, insuffisants pour garantir du travail à tous les salariés.

La direction a annoncé la fabrication d'un nouveau véhicule en 2017 alors que la production actuelle sur le site s'établit à environ 100.000 voitures par an.

En outre, selon Laurent Valy, 100 jours de chômage technique ont été imposés aux salariés en 2013.

«Le chômage par rotation»

A Sochaux, l'appel à débrayer pendant 1H30 a été suivi par 350 salariés dans la matinée, selon la CGT, par 325 selon la direction qui précise que la production a été seulement ralentie. Un autre débrayage était prévu en fin d'après-midi.

A Poissy, environ 300 personnes des équipes de nuit et de jour ont débrayé, pendant environ deux heures pour chacune des trois équipes, selon le secrétaire général CGT Farid Borsali. La direction n'était pas joignable dans l'immédiat.

Metz, 120 à 200 salariés ont débrayé pendant deux heures à la mi-journée, selon la direction et les syndicats.

«On a réussi à bloquer les deux lignes de production principales de boîtes de vitesse», a dit Jérôme Contat, de la CGT. En revanche la direction a nié toute perturbation de la production.

Seule la CGT appelait à débrayer à MulhouseValenciennes et Vesoul.

Cent-vingt salariés ont cessé le travail à Mulhouse, selon le syndicat, et 95 selon la direction.

Le mouvement de protestation devait être suivi par une centaine de salariés sur 2.200 à Valenciennes à la mi-journée, selon Cédric Brun, représentant CGT de l'usine produisant des boîtes de vitesse.

«Les salariés refusent que les syndicats signent un accord avec lequel ils seraient complètement perdants», a-t-il déclaré. «Aujourd'hui, la direction de Peugeot veut imposer un gel des salaires jusqu'en 2016 avec un nombre de restrictions, notamment l'overtime (allongement de 10 à 20 minutes de la journée de travail), le chômage par rotation, les mutations forcées, et tout cela sans contrepartie sur l'emploi.»

Les salariés, inquiets de perdre un projet de boîtes de vitesse nouvelle génération, réclament «des annonces écrites en échange de tout sacrifice», a précisé le syndicaliste.

Sur le site mondial des pièces détachées du groupe à Vesoul, une quarantaine de salariés ont débrayé, selon la CGT.

 
 
 3 octobre 2013
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2 octobre 2013

ouestfrance-1.jpg Appel à la grève demain à l’usine PSA-la Janais

La CGT, la CFDT etl’Unsa appellent à la grève, ce jeudi à partir de 11 h 30, à l’usine PSA-Janais.

Les trois syndicats veulent montrer leur « mécontentement » sur les contreparties présentées le 25 septembre par la direction, lors d’une réunion de négociation sur le nouveau contrat social. « Les volumes de production annoncés pour Rennes malgré le lancement d’un nouveau véhicule sont insuffisants au regard des efforts demandés aux salariés, explique Laurent Valy, de la CFDT. Nous demandons plus de visibilité et des volumes complémentaires pour garantir l’avenir du site de la Janais et plus largement de la filière automobile en Bretagne. »

Réduire encore la voilure ?

À l’issue du plan social en cours portant sur 1 400 suppressions de postes, l’usine de la Janais comptera 4 200 salariés. En parallèle, la direction annonce un volume de production situé entre 100 000 et 150 000 véhicules, à partir de 2017. Insuffisant au regard de l’effectif prévu. « En clair, si la direction ne revoit pas sa copie, il faudra encore réduire la voilure, c’est inacceptable », s’insurge Laurent Valy.

 
 
 
2 octobre 2013
Les syndicats CFDT et CGT appellent les salariés de l'usine PSA de Rennes à débrayer dès 11h30 le jeudi 3 octobre. Le "nouveau contrat social" proposé par la direction ne suscite pas l'enthousiasme.
 
La grève couve sur le site PSA de Rennes-la-Janais (35) : "Les volumes de prodution annoncés pour Rennes malgré le lancement d'un nouveau véhicule sont insuffisants au regard des efforts demandés aux salariés" indique la CFDT dans un communiqué. Un préavis est donc déja déposé pour le 3 octobre dès 11h30, sachant que la CGT a décidé elle aussi de s'associer au mouvement de protestation.

Selon le secrétaire de la CFDT Laurent Valy, "avec le nouveau contrat social,  ce seraient 100 000 à 150 000 véhicules par an" qui sortiraient des chaines bretonnes à compter de 2017. Soit, toujours selon la CFDT, un recul par rapport aux 170 000 promis initialement, sachant de toute façon que l'usine est en capacité de fabriquer jusqu'à 243 000 unités par an.

Laurent Valy s'alarme d'autant plus qu'afin de produire une telle quantité de véhicule, 2500 personnes seraient nécessaires, alors que l'effectif actuel est d'environ 4000 employés.

Un comité paritaire stratégique doit se tenir le 15 octobre prochain afin de décider de l'avenir des sites industriels de PSA.
 
 
 
2 octobre 2013

france-3.jpgPSA La Janais : préavis de grève de la CFDT aujourd'hui

La CFDT du site de PSA La Janais a déposé un préavis de grève pour aujourd'hui. Le syndicat manifeste ainsi son mécontentement sur les contreparties présentées la semaine dernière en échange du nouveau contrat social.

L'intérieur de l'usine PSA La Janais © Tess Raimbeau
 
Préavis de grève de la CFDT

La section CFDT PSA Rennes La JANAIS a déposé un préavis de grève, ce jeudi à partir de 11h30.
Le syndicat dit vouloir "exprimer son mécontentement sur les contreparties présentées le 25 septembre dernier, à l’occasion de la séance de négociation sur le nouveau contrat social". Selon la CFDT, les volumes de production annoncés pour Rennes, malgré le lancement d’un nouveau véhicule, sont insuffisants au regard des efforts demandés aux salariés. Elle demande des volumes complémentaires pour garantir l’avenir du site rennais et plus largement celui de la filière automobile en Bretagne.
 
PSA La Janais : Laurent Valy, secrétaire CFDT

Un taux d’utilisation de 100% des usines du Groupe en Europe fin 2016

Le 25 septembre s’est tenue, une réunion destinée à bâtir, avec les organisations syndicales, le nouveau Contrat Social afin de concilier les impératifs de compétitivité du Groupe et les intérêts des salariés.
Philippe Varin, président du directoire, a confirmé l’engagement du groupe de maintenir sa forte présence industrielle en Europe, et plus particulièrement en France, avec des mesures de redressement et de compétitivité pour ses bases industrielles françaises. La cible d’un taux d’utilisation de 100% des usines du Groupe en Europe fin 2016 a été confirmée.

Un million de véhicules en 2016 et un nouveau modèle par usine

En cas de signature de l’accord, PSA Peugeot Citroën s’engage à maintenir son activité en France à moyen Terme, avec une production française autour d’un million de véhicules en 2016. Un niveau de production qui permet de s’engager à maintenir l’activité de toutes les usines terminales et organes mécaniques & bruts de PSA Peugeot Citroën en France. Il a été annoncé encore le lancement d’au moins un nouveau modèle dans chacune des usines terminales sur la période 2014-2016
Cette activité industrielle génèrera un niveau élevé d’investissement en France, d'1,5 milliard € sur la période 2014-2016, soit un niveau supérieur à l’investissement industriel réalisé ces trois dernières années.

Un nouveau modèle à Rennes en 2017 en plus de la C5 et  la 508

Le site de Rennes continuera à produire les Citroën C5 et Peugeot 508, et il a été confirmé donc qu'il lancera un nouveau véhicule en 2017, avec des volumes de l’ordre de 100 000 à 150 000 véhicules. D'autre part les actions de réindustrialisation se poursuivent sur le site.
 
 
6 septembre 2013
RTL soir: PSA veut encore geler les salaires
L'intervieuw de Laurent VALY (CFDT) concernant le contrat "social".
 
 
 
25 mai 2013 
LA TRIBUNE: Réunion "décevante" entre PSA, l'Etat et les syndicats, sur l'avenir du site de Rennes
 
La troisième réunion tripartite sur l'avenir du site de PSA à Rennes a été jugée "très décevante" par la CFDT. 1.400 suppressions d'emplois y sont prévues. Certains redoutent même une fermeture du site à terme.
La troisième réunion tripartite, vendredi, entre représentants de l'Etat, élus des collectivités locales et syndicats sur l'avenir du site rennais de PSA La Janais a été jugée "très décevante" par la CFDT. 1.400 suppressions d'emplois y sont prévues, sur quelque 5.500 salariés. Selon le syndicat, cette réunion  était l'occasion de faire un point sur l'état d'avancement du dossier de réindustrialisation du site breton. Toujours d'après la CFDT, seul un projet, dans le cadre de cette réindustrialisation, est "acté", avec la SNCF. Il s'agit de la rénovation de rames TGV, avec à la clé 80 postes en contrat de détachement. Deux projets sont en cours de finalisation: celui d'une centrale béton (15 à 35 emplois) et celui d'un centre de traitement de déchet industriel (45 emplois), assure le syndicat. Six autres projets seraient à l'étude.

1.300 contacts en France

Fin avril, le directeur du site, Jean-Luc Perrard, indiquait que PSA avait pris "de l'ordre de 1.300 contacts en France et 210 au niveau international" pour l'implantation d'entreprises. "A Rennes, nous proposons 1.800 solutions, dont 400 en interne dans le groupe, 800 à travers la réindustrialisation du site, 600 via le cabiner Sodie", affirmait à la mi-mars Denis Martin, Directeur industriel de PSA. Mais, pour l'heure, "c'est zéro contrat CDI de proposé aux salariés ", déplore la CFDT. Si le nombre escompté de départs volontaires n'est pas atteint d'ici à décembre 2013, des licenciements économiques pourraient suivre. Selon la CFDT, une prochaine réunion tripartite se tiendra fin septembre. 

11.214 suppressions de postes

Au total, 11.214 suppressions de postes sont envisagées entre mai 2012 et mi-2014 par le groupe automobile, qui prévoit notamment pour 2014  la femeture du site d'Aulnay, en région parisienne. "Nous proposons à Aulnay 3.750 solutions de reclassement indentifiées pour les 2.550 salariés qui restaient au 1er février, soit 1.650 mesures de reclassement interne, 800 emplois identifiés sur le site et 800 à travers le cabinet Sodie, 300 postes de transition professionnelle vers la RATP ou la SNCF", affirmait Denis Martin en mars. En pleine crise, certes conjoncturelle à cause des marchés mais surtout structurelle, PSA réduit ses capacités de production en Europe de l'ouest. Des interrogations se font jour sur Rennes pour le moyen terme. On se demande si, après Aulnay, PSA ne sera pas contraint de fermer le site breton, qui fabrique aujourd'hui des Citroën C5 et des Peugeot 508. Mais, comme les remplaçantes de ces deux modèles partageront leur plate-firme avec les véhicules compacts du groupe produits à Mulhouse et  Sochaux, l'interrogation est légitime.

Négociation sur la compétitivité

En fortes pertes, PSA, qui vient d'annoncer la cession de son site de Meudon en région parisienne, va ouvrir une négociation sur la compétitivité de ses sites en France le 29 mai  prochain avec les partenaires sociaux.  L'objectif est notamment d'obtenir des engagements des salariés sur une plus grande flexibilité pour accroître la compétitivité, à l'instar de l'accord signé récemment par Renault.

 
 
24 mai 2013 
HIT WEST: PSA : "des avancées timides" selon les syndicats

C'est la troisième fois qu'ils se réunissaient en préfecture de Rennes, élus, direction et syndicats de PSA se sont retrouvés hier autour de la table. Objectif : travailler sur les pistes de réindustrialisation du site de La Janais menacé par 1.400 suppressions de postes. Le projet d'implantation de la SNCF qui concernerait 80 emplois a été confirmé. Deux autres projets sont également en cours de discussions. Des avancées jugées encore trop timides par les syndicats. Écoutez Laurent Valy, délégué CFDT au micro de Christelle Bodin. 
A noter que depuis le début de l'année, les salariés de La Janais totalisent 36 jours chômés.
 
 
24 mai 2013
LE FIGARO: PSA Rennes: nouvelle réunion décevante
 
Une troisième réunion tripartite -Etat, élus des collectivités locales, syndicats- sur l'avenir du site rennais de PSA La Janais, où environ 1.400 suppressions d'emplois sont prévues, s'est tenue vendredi à Rennes, réunion jugée "très décevante" par la CFDT.

Selon le syndicat, la réunion, la 3e depuis l'annonce du plan de restructuration de PSA, était l'occasion de faire un point sur l'état d'avancement du dossier de réindustrialisation du site.

Selon la CFDT, seul un projet, dans le cadre de cette réindustrialisation, est "acté", avec la SNCF. Il s'agit de la rénovation de rames TGV avec à la clé 80 postes en contrat de détachement.

Toujours selon le syndicat, deux projets sont en cours de finalisation: celui d'une centrale béton (15 à 35 emplois) et celui d'un centre de traitement de déchet industriel (45 emplois).
Six autres projets seraient à l'étude, dont un d'une industrie agro-alimentaire.

Fin avril, le directeur du site, Jean-Luc Perrard, avait indiqué que PSA avait pris "de l'ordre de 1.300 contacts en France et 210 au niveau international" pour l'implantation d'entreprises.
Mais pour l'heure, "c'est zéro contrat CDI de proposé aux salariés PSA", déplore la CFDT qui souligne avoir "vivement exprimé son mécontentement lors de cette tripartite".
 
 
24 mai 2013

Ouest-France: Réindustrialisation de PSA-la Janais : trois projets dans le rail, le béton et les déchets industriels


http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Reindustrialisation-de-PSA-la-Janais-trois-projets-dans-le-rail-le-beton-et-les-dechets-industriels_40771-2195708-pere-bre_filDMA.Htm

Le plan social a été lancé le 2 mai à la Janais. À ce jour, 35 salariés ont accepté l’une des mesures de départ volontaire proposées par la direction.

 

À l’issue de la réunion organisée ce vendredi après-midi à la préfecture de Région à Rennes, Jean-Luc Perrard, directeur de l’usine PSA de la Janais, a annoncé que le constructeur était en voie de finaliser trois projets concrets de nouvelles activités sur le site de la Janais.

« Au total, ces trois activités portent sur un volume de 150 emplois. L’un concerne la rénovation de rames TGV avec la SNCF. » Le directeur de l’usine ne souhaite pas dévoiler la nature des deux autres projets. « Nous les annoncerons concrètement avant le mois d’août. »

D’autres participants à la réunion ont confirmé l’implantation déjà évoquée ces derniers mois, d’une centrale à béton par le groupe de BTP Pigeon, qui porterait sur 15 à 35 emplois. Le troisième concerne une activité de traitement de déchets industriels, qui se traduirait par 45 emplois nouveaux.

Les syndicats dubitatifs

La CFDT n’a pas caché sa déception. « Dans tout ce que l’on a entendu, il n’y a aucune offre ferme en CDI, se désole Laurent Valy, de la CFDT. On parle de 150 emplois, sur les 400 annoncés dans le cadre de la réindustrialisation, mais pour l’heure, il n’y a rien de concret. Comment voulez-vous que les salariés candidats au départ volontaire puissent adhérer à des offres qui n’existent pas. »

Allocation au titre du chômage partiel

Concernant cette fois les jours de chômage partiel (36 jours entre janvier et mai), le préfet Michel Cadot a précisé que l’allocation versée par l’Etat en compensation de la perte de salaire (l’APLD), était prolongée jusqu’au 31 décembre.

 
27 mars 2013
Interview de Laurent VALY représentant CFDT à l'usine de PSA à RENNES au sujet du report de la réunion avec Airbus.
 
 
22 novembre 2012

Philippe Varin à la Janais : sans surprise...

 
15 septembre 2012
La CFDT "ne s'attendait pas à autant de suppressions de postes"
 
Avec 1.400 postes supprimés à Rennes-La Janais, selon la direction de PSA (Peugeot-Citroën), la CFDT avoue avoir été surprise. Elle s'attendait certes à des mesures mais de moindre ampleur.
 
 
15 septembre 2012
3.000 manifestants contre les suppressions d'emplois
 
Ils étaient à peine 3.000 à manifester à Rennes ce samedi matin, contre la menace pesant sur 1.400 emplois du site PSA de La Janais.
 
 
15 septembre 2012
La Stratégie de PSA (Matinale iTélé)
 
 
11 septembre 2012
Réaction de Laurent Valy (CFDT) suite à la visite de François HOLLANDE.
 
 
 
28 avril 2012
30 jours de chômage partiel au 1er semestre 2012